L’OEUVRE « CIVILISATRICE » DE LA FRANCE EN BRETAGNE

LES BONNES PAROLES DU BON DOCTEUR MELENNEC

1789, CE QUE LA fRANCE, INVENTRICE DES DROITS DE L’HOMME, PAYS QUI A APPORTE LA LIBERTE AU MONDE, A APPORTE  A CES PAUVRES PLOUCS DE BRETONS, EN ALLANT LES EXTRAIRE DE LA BOUE DES RUISSEAUX DANS LESQUELS ILS PATAUGAIENT DEPUIS DES MILLIERS D’ANNEES.

BRAVO LES BLEUS : TOUJOURS PLUS HAUT, TOUJOURS LES MEILLEURS !

A DIFFUSER PARTOUT dans le monde:

« Histoire de la Bretagne pour les Nuls » sur Humanuscibe

Ce texte est dédié à plusieurs héros « Bretons » : Le DRIAN, LE BRANCHU, LE GROSVALET, JEAN-MARC AYRAULT, JOHANNA ROLLAND.

Nous les chargeons d’enseigner la vérité dans les écoles.

LA REPUBLIQUE BRETONNE EST UNE ET INDIVISIBLE.

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L’ASSASSINAT DES INSTITUTIONS, DE LA CULTURE, DE LA LANGUE BRETONNES. LA DESTRUCTION DES ESPRITS PAR LE LAVAGE DES CERVEAUX.
C’est un fait reconnu par tous les historiens : en 1789, les députés Bretons, très en avance sur leur temps, agirent avec une grande détermination pour faire tomber l’ancien régime, vermoulu, appelé à se réformer et à succomberLes rois ne furent pas des voyous, comme on a voulu le faire croire dans les écoles de la « république », infectées par l’histoire écrite à cette fin par Ernest Lavisse et quelques autres. Ceux qui leur succédèrent dans nombre de pays – les Staline, Hitler, Mao ZedongPol Pot et autres – .. eux, furenparmi les tyrans les plus sanguinaires de l’histoire de l’humanité ; pires que Attila, disposant de moyens d’extermination beaucoup plus considérables. Dans nos civilisations occidentales et chrétiennes, on ne peut citer AUCUN exemple de cette nature parmi les rois ou les Empereurs.

Peu de Bretons savent encore ce que fut leur pays au temps des Ducs, et comment il fut gouvernéLa Bretagne ne fut certes pas un paradis terrestre, même si les chroniqueurs bretons du 15ème siècle l’affirment.

Au plan des idées et des libertés politiques, l’élite bretonne des dernières années de l’ancien régime était beaucoup plus avancée que les Français. Notre Parlement de Bretagne conduisit la fronde contre l’arbitraire français, avec le concours des autres parlements du royaume de France. Ceci est un fait avéré, surabondamment prouvé.

La France a-t-elle été reconnaissante de ce concours très actif apporté par les Bretons lors des réunions de l’Assemblée nationale  à Paris, en 1789 ? Poser la question, c’est y répondre : c’est l’inverse qui s’est produit, bien entendu ; c’est ainsi que la France a toujours agi à l’égard des Bretons. Des monstruosités furent commises à notre encontre par les dérangés mentaux de Paris. Bien loin d’apporter la Liberté à laquelle  les Bretons aspiraient, les « révolutionnaires » – parmi lesquels de véritables malades psychiatriques, relevant de la camisole de force –, après avoir injurié nos députés (Mirabeau osa les traiter de « pygmées » ….), détruisirent tous les droits ancestraux de notre pays.

1 – Le régime d’autonomie administrative et fiscale de la Bretagne est suppriméLe pays est découpé en « départements », administrés par des gauleiters français, sous le nom de « préfets »; la Bretagne, ce vieux pays, n’a plus le droit d’exister. C’est toujours le cas en 2018 : la Bretagne est « administrée » par des « préfets » nommés par Paris, à qui ils doivent leur carrière, et qui rendent compte à ceux qui les nomment, en aucun cas à eux qu’ils sont censés administrer. A de rarissimes exceptions près, ces fonctions sont attribuées à des Français, c’est-à-dire à des étrangers.

2 – Les institutions antiques – les Etats et le Parlement – sont supprimées.

Les Bretons se voient interdire de décider eux mêmes de leurs impôts, et de voter leurs lois, attributions constitutionnelles qu’ils avaient conservées sous la monarchie capétienne, en dépit de l’annexion du pays par la force, en 1532, contre la volonté unanime des bretons – à quelques traîtres près.

3 – Massacres et persécutions. En 1793 et en 1794, les armées françaises se livrent en Bretagne et en Vendée à des massacres d’une cruauté inouïe, parmi les plus horribles de l’histoire de l’humanité, plus atroces que celles des nazis et de Daesh : 5000 personnes sont noyées dans la Loire, des centaines de femmes sont violées et éventrées, des enfants sont exécutés devant leurs parents, dans des conditions abominables … Cette période est dénommée aujourd’hui  la Shoah bretonne.

4 – Destruction de la langue. La langue bretonne est interdite, humiliée, insultée. On écoutera avec stupeur les émissions consacrées à ce sujet horrible :

« L’assassinat de la langue bretonne », Louis Mélennec, mars 2011

En 2018la langue, qui perd plusieurs milliers de locuteurs par an, par la volonté consciente de la France de la détruire – avec la complicité de certains « élus », dont les noms sont connus et honnis en Bretagne, – est presqu’anéantie. 

5 – L‘histoire bimillénaire de la Bretagne, interdite, dénaturée, fait hallucinant, est remplacée …. par l’histoire de France, le pays tortionnaire, beaucoup plus tardivement apparu sur la scène européenne.

En 2018, notre histoire nationale n’est toujours pas enseignée dans nos écoles, construites avec nos impôts, comme sont appointés avec notre argent les professeurs des écoles, des lycées et des facultés.

6 – Colonisation de la Bretagne. La Bretagne est à ce point une nation étrangère à son voisin de l’Est, que l’historien et idéographe Jules Michelet, jadis considéré comme un historien français, aujourd’hui catalogué comme un romancier, largement responsable de la réécriture falsifiée de l’histoire de France, écrit, en 1831 :

 » La Bretagne est une colonie, comme l’Alsace et les Basques, plus que la Guadeloupe ».

Cette période, inaugurée sous le règne des cinglés de 1789, instaure une colonisation impitoyable, et de décervelage terrifiant, mis en œuvre par les préfets, les instituteurs, les écoles, l’administration, entièrement sous la coupe de la France. 

Un racisme anti-breton se développe librement en France d’une manière insupportable, dès 1789. Les injures déversées sur les Bretons jusqu’à aujourd’hui, sont ignobles.

« Les Bretons, c’est comme les cochons », dira le « ministre » Charles Pasqua, l’homme du SAC, condamné à deux ans de prison, avec sursis, malheureusement … « Les Bretons sont les nègres de la France », lit-on dans l’Assiette au beurre en 1903 ; le chanteur Berroyer chante que les enfants promenés par les bretonnes dans leurs landaus sont des gorets. Les tribunaux français refusent de condamner ces ignominies, là où la moindre injure anti-juive ou anti-arabe est punie avec férocité. Tout citoyen du monde DOIT avoir lu les injures anti-bretonnes, telles qu’elles sont publiées dans les sites et dans les blogs – mais JAMAIS dans les merdias subventionnés, c’est-à-dire vendus et achetés.

Injures anti-bretonnes

7 – Acculturation de la Bretagne. Les Bretons, humiliés, acculturés, développent un sentiment très fort de dévalorisation, de honte de soi, et de culpabilité, qui a persisté bien au delà de 1950. Médecin formé à la psychiatrie et à la psychanalyse,  j’ai décrit cliniquement cet état sous le nom de « syndrome breton », que je connais parfaitement, pour l’avoir vécu moi-même, dans ma tête, du temps que j’étais jeune :

« Le syndrome breton », interview du Docteur Louis Mélennec, 27 juillet 2007

 

8 – L’économie est ruinée . Du temps qu’elle était libre, sous ses Ducs souverains, la Bretagne avait été une puissance européenne importante, dynamique et prestigieuse. Ses bateaux, ses commerçants, ses diplomates étaient partout en Europe. Elle signait des accords commerciaux avec toutes les puissances européennes ; et même avec les Turcs, qui n’étaient pas ses ennemis ! Au 15ème siècle, avant son annexion sauvage par la France, elle assurait 80 pour 100 du commerce maritime des ports de la mer du Nord. C’était un pays prospère.

Au fil des siècles, son économie dépérit sous la férule de la France, qui l’exploita comme une colonie, c’est-à-dire comme une ferme. Son économie, ses ressources humaines, exploitées drastiquement par l’Etat colonial aboutissent à une catastrophe Au 18ème siècle. La « révolution » l’ayant achevée, elle devient le « ploukistan » occidental de la France ; selon la formule d’un auteur : le trou du cul de l’Europe.

9 – Les effroyables pertes humaines. La France a été en guerre pendant toute son histoire. La Bretagne, elle, est pacifique dès le quatorzième siècle. Mais ses troupes, une fois annexée, comme chacun le sait, sont utilisées par l’Etat colonial plus que largement. La Bretagne perd dans les guerres françaises – qui ne sont pas les siennes  plusieurs centaines de milliers de ses jeunes, sur lesquels reposait l’avenir du pays : leur courage et leur sens du devoir fait d’eux une chair à canons prioritaire, que l’on sacrifie sans aucune sorte de scrupule : ces ploucs sont placés aux premières lignes. « Ce que j’ai consommé aujourd’hui comme Bretons », dira le débilissime général français Nivelle, au cours de la guerre de 14-18. La Bretagne ne se remettra pas de ces immenses saignées humaines.

Les marins bretons sont utilisés sur les cinq continents pour les conquêtes coloniales de la France. Si le malheur de l’annexion ne s’était pas produit en 1532, avec leur flotte impressionnante, et leur dynamisme courageux ils auraient diffusé partout dans le monde le message civilisateur breton – celui du roi Arthur, de la table ronde, de Lancelot et de Mélusine. Le petit Portugal, alors plus faible que la Bretagne,répand sa culture et sa langue sur les cinq continents, avec des moyens en matériel et en hommes beaucoup plus faibles que ceux que les Bretons étaient en mesure de mobiliser. La langue bretonne serait aujourd’hui parlée dans plusieurs pays du monde, et pas seulement en Europe.

Par la faute de la France, la Bretagne a raté sa vocation mondiale.

10 – L’assassinat de la nation bretonne. Boursouflure inouïe, la France s’auto-proclame seule nation sur les territoires qu’elle a envahis; les Bretons, peuple identifié depuis l’antiquité par Jules César et d’autres auteurs sont interditd’afficher sa dignité de Nation, ce que n’avaient jamais osé faire les rois capétiens.

11 – La régression de la société bretonne. Pour ne citer que ce fait important de société, le statut de la femme régresse, au plan légal, d’une manière considérable sous l’effet des prétendus principes d’ « égalité » et de « liberté » révolutionnaires, antiféministes féroces, et surtout du code civil napoléonien.

La femme est l’égale de l’homme dans les sociétés bretonnes dès avant Jésus-Christ:

Chap.12 , Les Bretons de Nominoë (JC. Cassard, 2003)

Le code civil napoléonien, promulgué en 1802, transforme la femme mariée en une ilote, soumise à son mari, contrainte de lui obéir comme sa servante, interdite de se refuser à ce qu’on dénomme ridiculement « le devoir conjugal », qui est à la seule disposition des caprices du mari. Il n’y a pas de viol possible de la femme par le mari, puisque celui-ci est seul maître de la sexualité du couple : belle mentalité ! Le retour au Coran, en quelque sorte !

La femme bretonne exerce l’autorité effective depuis l’antiquité. La France des droits de l’homme lui accorde le droit de vote – bien après les autres pays, notamment la Turquie ! – en … 1944 ! La femme bretonne est un être humain avant Jules César : 2000 ans d’avance, sur ce point, sur la société française !

Voila à quoi nous sommes réduits par notre voisin de l’Est, depuis la « révolution » dite « des droits de l’homme », cette révolution « qui a apporté la Liberté au monde » (sic!) : un pays qui résiste, mais qui est réduit par l’effet d’un rouleau compresseur permanent, à un pays croupion . Un « système » électoral en trompe-l’oeil , qui n’admet au parlement français que des serviteurs du systèmeLe pays n’a plus le droit de rien décider de ses affaires, et n’est jamais consulté sur rien, sûrement pas sur les impôts qui lui sont infligés. La France, le pays le plus mal gouverné de l’occident, a réussi l’exploit calamiteux d’être le pays le plus imposé. Ce racket fiscal est infligé aux Bretons, dont on sait qu’ils sont travailleurs, économes – davantage que les Ecossais, dit-on -, et remarquables gestionnaires, encore plus des deniers des autres que des leurs.

Le plus triste : tous nos « députés » et nos « sénateurs » ont lu le livre bleu de la Bretagne, les écrits sur la SHOAH bretonne, et ceux qui en sont issus : ils sont donc au courant de ce qui s’est passé en Bretagne depuis 1789. A une époque ou la shoah juive donne lieu à plusieurs émissions quotidiennes dans les télévisions françaises et mondiales, pas un de ces hommes (ces hommes?) n’a ouvert la bouche.

Qui que vous soyez, vous qui avez lu ce texte, vous avez le devoir impératif de le partout. Les complices de ce silence criminel doivent être punis. ILS LE SERONT, soyez en certains.

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