L’épicerie Centrale de Guéméné-sur-Scorff

BREIZH INITIATIVES / L’ÉPICERIE CENTRALE / GUÉNÉNÉ-SUR-SCORFF (Mor-Bihan): ouverture ce samedi 3 juin!

Trugarez dit Sophie Broch!

« Nous ouvrons, Sam et moi, « L’épicerie centrale », CE SAMEDI 3 JUIN, à Guémené sur Scorff, à 10h00..petit pot offert à 18h…
YOUHOU!!!
A « l’épicerie centrale » y’aura du fromage de brebis, de chèvre, de vache, de la viande de boeuf, d’agneau, du poulet, des oeufs, de la bière, des jus de fruits, des tisanes…produits par des paysans du coin.
Y’aura des produits secs bio; thé, café, épices, vin, huile d’olive, pâtes…
Y’aura du vrac au poids; riz, lentilles, fruits secs…
Viendez donc les gens!!!!!!!! »

Souhaitons-leur bons vents!

 

 

Le double-jeu de Laïta, Paysan Breton

Paysan Breton est-elle la marque du non-sens ?

Au lendemain du rassemblement annuel sur la Réunification de la Bretagne, nous étions loin de nous attendre à ce qu’un de nos plus grands fers de lance, la marque « Paysan Breton » (marque exclusive de la coopérative Laïta) que nous connaissons et consommons, puisse lancer une campagne de promotion digne de la trahison !

Le site Paysan Breton mentionne :
« Paysan Breton reste fidèle à ses origines. Solidaire des éleveurs laitiers à laquelle elle appartient, Paysan Breton fabrique ses produits en Bretagne et Loire-Atlantique, avec du bon lait de l’ouest de la France. Acheter Paysan Breton, c’est aussi soutenir l’agriculture locale ».

Ce qui n’empêche pas un marketing d’afficher :
100 % lait de Bretagne et Pays de la Loire ;
100 % fabriqué en Bretagne historique ;
100 % délicieux ;
100 % fiers !

Produit en Bretagne et 100 % Pays-de-Loire ?

Permettez-nous de nous interroger : comment peut-on afficher « Produit en Bretagne » sur ses produits et promouvoir les Pays-de-Loire ?
Laïta n’est-elle pas partenaire de ce label ?
Comment peut-on revendiquer une identité bretonne, sur son site comme sur sa page Facebook, et ainsi jouer sur deux tableaux ? Pardonnez-nous, mais ceci relève sinon de la trahison, de l’abus de confiance !
Promouvoir ainsi cette marque relève de la trahison sinon de l’abus de confiance !

Pareille campagne :

– Joue le jeu de ceux qui cherchent à diluer l’identité des Bretons de la Loire-Atlantique dans la région factice PDL, sans parler du terme « Grand Ouest » que nous avons pu lire sur votre site ;

– Salit le label « Produit en Bretagne » ;

– Abuse des consommateurs de la marque Paysan Breton, qui se fiaient jusqu’alors à vos produits ;

– Se sert de l’image des Pays-de-Loire (l’inclusion de la Vendée, le Maine-et-Loire et la Sarthe), territoires n’ayant aucun rapport avec l’identité bretonne.
Est-il utile de rappeler que l’identité bretonne est autant que réelle que le beurre salé que nous consommons, tandis que celle des Pays-de-Loire n’est que factice et repose sur une décision politique !
Nous sommes Bretons, ce que nous consommons n’est pas factice. Laïta veut-elle goûter au pouvoir du consommateur ?

Les Ormeaux de Plouguerneau

BREIZH INITIATIVES / CULTURE D’ ORMEAUX / HALIOTIS / PLOUGERNEAU

Après avoir fait ses armes et doctorat en Australie, cela fait maintenant 12 ans que sylvain Huchette ,(ingénieur en agriculture spécialisé dans l’ aquaculture) dirige sa société France-Haliotis qui s’est installé en Finistère.
France-Haliotis est la seule entreprise d’Europe à élever des ormeaux en pleine mer, nourris d’algues fraîches et bénéficiaires du label bio. Plouguerneau( Bretagne ) n’a pas été choisi par hasard mais pour la qualité de ses champs d’algues très riches et la température relativement constante de ses eaux.
Très fragile, ce gastéropode brouteur nécessite beaucoup de soins et un longue mise au point s’est révélé nécessaire pour l’élever, car il ne supporte ni les fortes densités ni le stress.

La société produit cinq tonnes annuelles d’ormeaux qui prennent la direction des plus grandes tables de France et d’Europe. Avec sa coquille nacrée percée de trous qui lui servent pour ses fonctions essentielles (respiration, reproduction…), l’ormeau d’élevage, dont le nom d’haliotis lui vient de sa forme d’oreille, est sensiblement plus petit que le sauvage. C’est en décembre que les reproducteurs sont sélectionnés ; les larves sont ensuite élevées dans des bassins de nursery, puis les petits ormeaux finissent leur croissance dans des cages en pleine mer. Ils y sont nourris d’algues fraîches vertes mais surtout rouges et brunes pendant quatre ans.
HALIOTIS, composée de 5 « goémoniers – éleveurs » et forte d’ une production de 5 tonnes/an, se dirige vers l’ auto – suffisance par la mise en place de panneaux photovoltaïques.

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La Société a démarré par un Export en Asie, elle se tourne maintenant vers des circuits courts qui permettent des livraisons à la journée.
S’engager dans le développement durable
Dans les prochaines années, Sylvain Huchette souhaite s’engager plus encore dans le développement durable, en installant des panneaux photovoltaïques pour tendre à l’autosuffisance. La production devrait passer de cinq à six tonnes annuelles, pour un chiffre d’affaires de 300.000 €, et un jeune sous contrat devrait rejoindre l’équipe.

Haliotis, le site

Haliotis à Groix

Haliotis sur Facebook

© Le Télégrammehttp://www.letelegramme.fr/finistere/plouguerneau/france-haliotis-aussi-bio-que-bon-23-06-2016-11119935.php?share_auth=abab588d8a926c8a2b4df577147e132e#EUm5jwJISBKS97Qp.99

Babelicot, l’entreprise conscientisée

BREIZHINITIATIVES / BABELICOT / GUIPAVAS (Penn-ar-Bed)
Dans la droite ligne de l’attitude qui tous aurions dû garder en tête, à savoir produire et consommer intelligemment (l’anti-gaspi) en adéquation et dans le respect de notre environnement, il nous appartenait de vous présenter cette initiative due à Éléonore et Benjamin Faucher
BABELICOT est bien plus que le résultat d’un militantisme, il résulte d’une conscientisation d’un modèle qui n’aurait jamais dû quitter nos habitudes. Babelicot est l’application artisanale mise à la disposition de tous, de ce qui se fait encore, et qui était habituel dans tous les foyers d’antan: produire pour consommer raisonnablement, recycler et gérer les excédents…
Babelicot est une conserverie bio qui se propose d’écouler les excédent de producteurs et de les proposer aux consommateurs.
« Notre initiative est militante, nous souhaitons sensibiliser par le biais de l’alimentation, participer à notre manière à la lutte contre le gaspillage, au changement du modèle agricole et à la structuration du bio »

vidéo

Les produits
Tartinades (rillettes de champignons, houmous de betteraves), sauces, soupes, ratatouille, achards de légumes, petite pots pour bébés…

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Tarifs: de 1 à 7€.
Pour se développer et optimiser au plus vite le recyclage des excédents des producteurs, maraîchers notamment) pour satisfaire les attentes de consommateurs, Eléonore & Benjamin ont choisi la voie du financement participatif.

Participez sur Ulule

L’objectif initial était de 8.000€. Il atteind aujoudh’ui 12.530€
Un second puis un troisième palier franchis ont permis de modifier l’objectif et d’améliorer l’offre.
La production est commencée, les clients se font plus nombreux, il est nécessaire de produire plus et mieux d’où l’acquisition de petites machines plus performantes sans nuire à la qualité. Le début du travail sur le site de vente en ligne est commencé:

Production en bocaux commencée
Création dune nouvelle contrepartie à partir de 30€:
une séance de dégustation des produits vendus et en phase test, afin de recueillir les critiques et futures recettes demandées.
Acquisition d’un utilitaire grâce au palier des 12.000€

Babelicot, le site

Les produits de la conserverie sont disponibles via les circuits courts dans les magasins de producteurs, les Amap, les Biocoop, les groupements d’achats, « et dans un proche avenir via la vente en ligne », promet Benjamin Faucher.

contact:
Babelicot,
206 rue de Kerervern – 29490 GUIPAVAS
Tél. 06 61 34 14 71.

Babelicot sur Facebook

Babelicot

source:

article sur Côté Brest

 

GWENNEG, le « Crowdfunding » breton!

Vous connaissiez KissKissBank ou même Ulule dans le monde de la participation à un développement de projet, oubliez-les, désormais il faudra compter sur Gwenneg, notre réseau à nous, notre plateforme de financement réservée aux bretons!

Gwenneg, signifie « sou » en breton.
Le financement peut se faire sous forme de don ( minimum de 5 €), de prêt (30 € min.) ou d’investissement en capital (dès 100 €).

Gwenneg, le site

Et puisque l’argent est maître dans ce monde, la loi française encadre le financement participatif via l’AMF (Autorité des Marchés Financiers) et l’ORIAS*.

AMF & ORIAS, passages obligés

Avant tout, toute plateforme doit s’enregistrer auprès de l’ORIAS, un registre unique obligatoire pour tout intermédiaire en assurance (crée en 2007) afind e recenser l’ensemble des intermédiaire en produits bancaires, d’assurance ou financiers. Ainsi, ne vous fiez pas à la dénomination originelle restreinte à l’assurance, ce registre est le passage obligé pour tout domaine d’action, tout produit, toute activité.
Née voici 10 mois Gwenneg s’est vu demandée par l’AMP – en décembre 2015 – d’augmenter ses fonds propres pour sécuriser sa missiond de collecte et la viabilité économique des entreprise qu’elle soutient. Au 1er mars 2016, 82 dirigeants bretons ont apporté 120.000€ pour répondre à l’augmentation demandée. Et un nouvel appel de fonds a été lancé dernièrement à hauteur de 80.000€…
Les chefs d’entreprises bretons en conviennent: tous doivent partager les risques, parce que bretons, parce que Gwenneg est un levier sur lequel tout breton peut en tirer un intérêt, l’intérêt de Breizh.

Karim ESSEMIANI, fondateur de GWENNEG

Si Gwenneg est née en juin 2015 pour soutenir des entreprises, il est important de comprendre que Gwenneg a besoin d’être soutenue par tous les bretons. Plus Gwenneg financera de projets, meilleur sera son seuil de rentablilité et plus elle pourra grandir en grignotant s’accaparant des marchés que pourraient remportés ces deux « majors » connues que sont les deux citées en début d’article.
Fondateur de Gwenneg, Karim Essemiani estime que le seuil de rentabilité entre 2 et 4 millions d’€uros collectés annuellement.

Autrement dit: si vous êtes bretons et si vous avez la volonté et les moyens de soutenir un projet breton ou une entreprise bretonne, c’est vers Gwenneg qu’il faut vous tourner. Et inutile de préciser qu’en l’espèce, la situation économique des entrepreneurs bretons n’est pas reluisante alors que leur inventivité est toujours aussi imaginative. Ce serait dommage de s’en priver non? A la clef: des emplois pour la Bretagne, des emplois pour nos enfants…
Pour l’heure, 32 campagnes ont été lancées par Gwenneg et 29 ont abouti pour un financement total de 170.000€ collectés. Dans les projets aboutis, citons KOAD (fabrication artisanale de lunettes de soleil en bois), L’ECHIQUIER DOMLOUPEEN (équipe féminine du club d’échecs de Domloup venant d’accéder en Nationale 1) ou encore FEMMES DE BRETAGNE (réseau collaboratif comptant près de 2.000 membres), des commerces etc… Un billet sera consacré très prochainement à Femmes de Bretagne, le site

Nous continuerons donc à appuyer Gwenneg et tous les projets pertinents que nous proposerons des entrepreneurs, par tous les moyens mis à notre disposition, certains ont déjà fait l’objet d’articles, d’autres viendront sans nul doute étant donnée la « no limit » de la créativité des esprits des enfants de Breizh…
sources:

Ouest-France Entreeprises 7 mai 2016

Orias, le site

 

La bulle d’Armorique est lancée!

CELTICAE DEIZ – Retour sur son lancement, dimanche 8 mai, au Pallet (bro-Naoned)

C’était énorme! Avouez qu’il fallait oser le faire, organiser un mini festival pour lancer le tout premier vin mousseux « Made in Breizh ». Plus qu’une simple opération de communication destinée à lancer un produit, cet évènement entre dans la prise de conscience de l’identité avérée du pays nantais.

Plus de 750 personnes ont répondu au rendez-vous!

ouest france du 9 mai 2016

 

extrait du concert d’EPSYLON

Les annonces du FEST DEIZH avec CELKILT, EPSYLON, HENTOU BREIZH

Dolcerama Mag

 

L’annonce du Celticae Deiz

 

 

Innovations: La Machine à Crêpes

« La confiture ça dégouline, ça se faufile entre les doigts… ».
Oubliez les frères Jacques, Julie & Julien viennent de résoudre le problème!

Une machine à crêpes pour emporter ses crêpes et ses galettes partout ! Grâce à leur machine, pliées en triangle, les bords sont soudés!

Il aura fallu cinq années à Julien Barbereau pour mettre au point sa machine à crêpes. Son objectif était de les rendre transportables et le pari est gagné! Superbe idée que d’aider ceux qui prennent leur pause-déjeuner et ceux qui mangent en marchant (notamment les enfants), plus de « coulures »…
Ouvert depuis novembre 2015, La Machine à Crêpes possède un atout considérable pour concurrencer ces fast-food et autres boutiques à emporter.

La Machine à Crêpes

    Adresse:  11, Chaussee de la Madeleine, 44000 Nantes

Tél: 33 2 51 82 71 39

          En dehors de cette invention qui commence à faire du bruit du côté du CHU de Nantes, l’inventivité est poussée jusqu’à donner des noms à chacune de leurs réalisations culinaires qui sont encensées par ceux qui les ont testé:

Galettes

« David Feta » (tomates séchées, olives , noires, courgettes & féta)

« Francis Muster » (lardons, pommes de terre, oignons & munster)

« Jeanne Mâche » (Curé nantais, mâche nantaise, jambon de vendée)

« Yannick Noix » (Roquefort, lardons, endives et noix)

« Nana Mouscurry » (crevettes, carottes, sauce curry)

« Camembert Wilson » (camembert, oignons crus & lardons)

« Josiane Tabasco » (rillettes de sardines au tabasco & poivrons)

« Florence Forestière » (poulet, champignons, fromage & ail)

etc.

Crêpes

« Miel Gibson » (crêpe au miel)

« Amande Altaï » (crêpe à la pâte d’amande)

« Patricia Casse-noisettes » (pâte de noisettes & éclats de noisettes)

« Sandrine Kinderlain » (émincé de Kinder maxi)

« Muroise Hardy » (crêpe à la muroise)

« Adèle Exarspeculoos » (crêpe au speculoos)

etc.

 

Tout un programme à tester…

Facebook

France Bleu

 

 

SolidariBreizh pour Le Club Breton

CMQ 2016.03/385

Nombreux ils sont, ceux qui déplorent la crise actuelle en Bretagne,
Nombreux ils sont, ceux qui dénoncent l’emprise de l’Etat français sur notre vie actuelle,
Nombreux ils sont, ceux qui revendiquent leur identité bretonne pour continuer à vivre dans ce contexte actuel de crise économique,
Nombreuses elles sont ces entreprises produisant « breton » qui comptent sur leur identité pour se développer ou survivre…
La motivation à rejoindre une organisation qui est faite pour eux, pour nous, semble nulle! Résignation?

Doit-on en déduire que cette frilosité apparente résulte de l’individualisme ou de la jalousie?
Doit-on en déduire que « produire breton » n’est dicté que par un esprit conquérant utilisant l’image de Breizh?
Où commence et où termine leur « bretonnitude »? Forfaiture?

Breizh n’a pas fini de pleurer sa 5ème fille « Liger-Atlantel »,
Breizh n’a pas fini de constater la débretonisation de la Loire-Atlantique,
Breizh n’a pas fini de quémander la liberté de pouvoir décider par elle-même ce qui est bon ou pas pour elle…

L’expérience nous montre tous les jours que Breizh n’a rien à attendre des D’A-Côtés ou de Bruxelles, ne sont-ce pas eux qui décident de tout, imposent leurs règles… et qui nous enfoncent chaque jour un peu plus dans une crise abyssale?
L’Histoire nous a démontré que si Breizh peut être certaine d’une chose, c’est que le Breizh Spirit est vecteur d’une Solidarité à toute épreuve. Jamais les bretons n’ont été vaincus dès lors qu’ils étaient unis et solidaires!
L’expérience nous prouve que notre avenir, celui de tous les bretons, ne dépend que de nous et de notre volonté à nous désincarcérer de ces lobbies, de ces organisations complices (ex: FNSEA) de tous nos déboires,
L’expérience nous démontre chaque jour que notre salut ne viendra pas de la très grande majorité de nos « élus » qui s’inscrivent dans une logique partisane étatique et jacobine!

L’Avenir de Breizh ne dépend que de la volonté de tous ses enfants à vouloir s’en sortir vraiment,
L’Avenir de tous les bretons passent par leur capacité à s’unir pour le seul bien de tous, pour nos générations futures,
Notre Avenir ne dépend que de notre volonté à retrouver notre Liberté, la liberté de choisir, de décider,

La Solidarité est un puissant levier qui doit gommer toutes les incertitudes, toutes les craintes, pour s’engager dans une démarche claire: choisir la voie de la Liberté en affichant fièrement son identité. C’est ainsi que le pouvoir retournera au Peuple, que les lois seront faites pour lui et par lui, n’est-ce pas cela la démocratie?
Parce que l’intérêt de de nous tous repose sur notre solidarité, sur notre volonté à lutter contre les inégalités et la précarité dans le champs de la responsabilité individuelle ET collective en ragard de notre patrimoine commun,
Parce que la responsabilité sociale et environnementale est essentielle et ancrée dans l’âme de tout entrepreneur breton,
Parce que naîtront des projets appuyés par tout un réseau de partenaires, Le Club Breton permettra de financer des actions concrètes,
Le Club Breton propose d’apporter une Valeur Ajoutée au RSE ou à l’image des entreprises auprès de leur clientèle comme de leurs collaborateurs. Le Club d’Entreprise du LCB permettra de développer une économie collaborative entre ses membres via une plate-forme de marchés interne, où chaque membre aura liberté de proposer ses services en privilégiant le réseau. Il va sans dire que LCB compte s’appuyer sur la diaspora bretonne expatriée pour développer les parts de marché de tous, tout en promouvant l’unité de Breizh, ses richesses, son patrimoine culturel et son dynamisme économique.

Alors, entrepreneuses/entrepreneurs des neuf pays bretons, Bretonnes/Bretons?
Nos ancêtres ont construit nos droits, nos résignations les détruisent.
« Agir plutôt que subir »
Tel est l’esprit qui doit vous guider à rejoindre Le Club Breton!