Le houblon, avenir de la Bretagne?

Dans un billet de l’année dernière, nous avions abordé cet espoir que pouvait représenter la filière houblonnière pour la Bretagne, notre territoire connaissant une recrudescence de micro-brasserie… Mais faute de production massive de houblon et d’orge localement, toutes importent depuis l’Alsace, l’Allemagne ou la Pologne.

Un agriculteur de Vendée venait de se reconvertir dans la production de houblon…

Cette fois, il s’agit d’une grande houblonnière, bio, près de Brédily (aux environs de Guingamp):

Près de Guingamp: la plus grande houblonnière bio de Bretagne en cours de montage, Actu.fr (15/08/2018)

Connecter les abeilles pour les protéger!

DES RUCHES CONNECTÉES / GÉOLOCALISATION POUR UNE MEILLEURE PROTECTION DES ABEILLES / ADA Bretagne
Un outil de sensibilisation pour la protection des pollinisateurs!
Depuis 2015, TRISKALIA a renforcé ses actions Planète Positive en mettant à disposition de l’ ASSOCIATION de DÉVELOPPEMENT APICOLE de la région BRETAGNE (ADA BRETAGNE) huit nouvelles balances électroniques connectées.
Ce dispositif de ruches connectées via internet, surnommé “OPTIBEE ”, permet de suivre à distance tout au long de l’année l’évolution de la production de miel et aussi de savoir si les abeilles sont en bonne santé.
L’ADA Bretagne compte aujourd’hui 15 balances électroniques, placées chez des apiculteurs.
Il y a actuellement 15 ruchers :
• 3 dans le Finistère
• 4 dans les Côtes-d’Armor
• 2 dans le Morbihan
• 6 en Ille-et-Vilaine
GÉOLOCALISATION
Chaque ruche est géolocalisée, ce qui permet de voir les différences de comportement en fonction de son emplacement. Ceci afin de savoir si des épisodes climatiques particuliers perturbent le bon déroulement de la saison de butinage.

Le suivi en temps réel a permis aux apiculteurs et aux conseillers de l’ADA de mieux connaître les périodes de présence des abeilles à l’extérieur de la ruche, et donc d’aider les techniciens TRISKALIA dans la préconisation des meilleurs intervalles pour réaliser les traitements au champ.
Afin de ne pas impacter les colonies à proximité des parcelles cultivées, il convient de respecter quelques règles élémentaires.
Et ceci même si on ne voit pas les ruches : une abeille peut parcourir jusqu’à 2 à 3 km pour butiner.
En période printanière, les abeilles sortent butiner dès le lever du soleil et ne rentrent qu’à la nuit tombée, entre 20 h et 22 h.
Ce type de courbe permet de comprendre quand les abeilles sont actives. Il faut attendre le coucher du soleil pour traiter !
Guillaume GASC
Service agronomie

Triskalia, 2017, 11 mai – « L’abeille, outil d’aide à la décision? »

Le Breizh Sukr Bio de Noyal-Pontivy

BREIZH SUKR BIO / 3 AGRICULTEURS SE LANCENT DANS LA BETTERAVE SUCRIÈRE / NOYAL-PONTIVY 56
MARCHÉ ÉCONOMIQUE PORTEUR POUR LA BRETAGNE !
L’agro-alimentaire breton raffole du sucre bio, pour ses yaourts, chocolats, sirops, bières, etc. ).
La betterave n’est pas une culture exotique en BRETAGNE.
Jusque dans les années 1960, ses variétés fourragères nourrissaient le bétail. Mais le maïs les a remplacées avec l’avènement de L’ÉLEVAGE INTENSIF.
BREIZH SUKR: trois Bretons cultivent de la betterave pour créer du sucre bio!
ÉTIENNE RICHARD, BERNARD CANO et GILDAS BAUCHÉ ont fait les semis des premières betteraves sucrières.
Ils réalisent les premiers essais de transformation de betterave bio en sucre.
Le projet est soutenu par L’UNIVERSITÉ de BRETAGNE-SUD et par plusieurs ACTEURS de L’AGROALIMENTAIRE.
BREIZH SUKR, le projet de Bernard Cano, soutenu par TRIBALLAT, BIOCOOP, BREIZH-COLA et la BRASSERIE LANCELOT, etc., prévoit la création d’une sucrerie BIO, à PONTIVY.
Elle devrait entrer en production d’ici à 2020. « Avec un potentiel d’environ 5 000 t par an, soit 500 ha cultivés. »
La sucrerie sera « un petit outil viable et peu coûteux ».
Qui, outre la betterave (3 mois de production par an), « pourra traiter bien d’autres végétaux, pour tourner toute l’année ». En produisant jus de fruits et de légumes biologiques, sirops, algues…
À côté de son blé, Gildas vient de semer près d’un hectare de betteraves.
De la très belle terre, près de Noyal-Pontivy (Morbihan).
Avec Étienne Richard, son voisin, 32 ans, qui est lui déjà totalement dans le biologique (120 ha de polyculture et d’élevage), il se lance à son tour. « J’ai 140 ha de légumes, blé, maïs et pomme de terre, que je cultive de manière conventionnelle, explique Gildas Bauché, 45 ans. Le bio me taquine depuis un moment. » Il vient de se décider à franchir le pas, séduit par le projet porté par Bernard Cano.
Parfaitement adaptée au climat breton, la betterave fourragère, mais aussi la betterave sucrière, y ont été très longtemps cultivées, « jusqu’au déclin des années 1970 ». La preuve : sa production a été testée, avec succès, sur 7 ha l’an dernier, 20 ha cette année.

Breizh Sukr, le site

Après avoir semé 7 hectares sur 12 sites du MORBIHAN, D’ILLE-ET-VILAINE et des CÔTES-D’ARMOR au printemps, les paysans ont pu modéliser le système de production de cette racine au rendement exceptionnel : un hectare génère 10 tonnes de sucre.
« Cette culture offre une nouvelle source de diversification agronomique et économique », apprécie Patrice Desriac, éleveur de porcs à Plumaudan, dans les Côtes-d’Armor.
« Si l’on parvient à créer un outil à taille humaine, rémunérateur pour les producteurs et attractif pour les industriels, ça marchera », renchérit Étienne Richard, éleveur de poules et de vaches à Noyal-Pontivy, dans le Morbihan.

En savoir plus:

France 3 régions

2017.06.04 - Breizh Sukr 1.jpg

 

La Brouette de Kerivoal des époux de Broc

AGRICULTURE / RETOUR DE LA CULTURE DU SARRASIN / LA BROUETTE DE KERIVOAL /PLOMELIN (29)

LE SARRASIN REVIENT EN FORCE EN BRETAGNE
Le sarrasin avait quasiment disparu de Bretagne alors qu’elle fait partie de notre culture.

LA RAISON ?
« À partir des années 60, les paysans se tournent vers la culture du maïs ou du blé pour nourrir les vaches. »
En une vingtaine d’années, la production va presque s’arrêter, passant de 116 000 ha en 1960 à 200 ha dans les années 80.

On assiste au retour du sarrasin, beaucoup d’agriculteurs sont concernés par une agriculture raisonnée, YVES DE BROC et sa compagne GAËLLE ALLARD DE BROC ont créé la BROUETTE DE KERIVOAL il y a 4 ans pour « promouvoir un mode de vie alternatif basé sur le respect de l’homme et de l’environnement. »

Dans ce corps de ferme, situé à PLOMELIN (FINISTÈRE), une ancienne dépendance du château de Perrenou, ceux qui le souhaitent peuvent se familiariser aux techniques de maraîchage, participer à des cafés associatifs, des spectacles, ou des soirées crêpes. « On invite les gens à remettre les mains dans la terre », résume Yves de broc.

2017.06.04 - La Brouette de Kerivoal

Ce « Loch’all » est le café associatif de La Brouette de Kerivoal. Dans ce petit coin de paradis, l’association a organisé une trentaine de soirées diverses l’an dernier : concerts rock, guitares, bals folk, conférences, soirées contées, repas, etc…
C’est aussi dans ce cadre enchanteur que vous pouvez venir déguster des crêpes totalement bio (sur commande, réservez quelques jours à l’avance)

La production remonte, nous en sommes à environ 5 000 ha, mais il reste du chemin à parcourir !

En savoir plus:

La Brouette de Kerivoal, le site

La Brouette de Kerivoal sur Facebook

 

Kerbeer, vitrine de Breizh sur Pariz XIV

SOLIDARIBREIZH / BREIZH ENTREPRISES / KER BEER /PARIZ
Au coeur du « 6ème département breton » (10, rue Vandame), le KerBeer se propose d’être la vitrine de nos bières artisanales. Et nous n’en manquons pas! Il en existe plus de 80 actuellement.

Kerbeer sur Facebook

Kerbeer est une SCIC (Société Coopérative d’Investissement Collectif) dont le but est de promouvoir nos boissons « Made in Breizh » artisanales hors des frontières de Breizh.

Pourquoi seulement artisanales?

A contrario des bières qualifiées industrielles, la consommation de masse demandant à  une régularité du goût, les bières artisanales jouent sur la diversité,  l’authenticité et la proximité.

La licence IV est reçue, ne reste plus que ce petit coup de pouce pour accélérer le projet. Le but de ce recours au « crowdfunding » est de doter le bar d’une tireuse pour 15 bières pressions différentes.

La grande majorité des brasseries ne proposant pas encore un conditionnement en fûts, il va sans dire que vous pourrez y trouver aussi un large choix de bien d’autres bières artisanales: plus de 300 références à ce jour.

Inédit

D’autres alcools bretons seront proposés, notamment du Chufere (ancêtre du Chouchen) ou du Tisquin (apéritif à base de pommes, coings et miel)…

Dépêchez-vous, on meurt de soif en capitale Jacobine.

nb: comme toujours, nous tenons à rappeler que des emplois sont à la clef et que cette vitrine est un soutien de poids aux brasseries de chez nous, d’autres emplois. ..

Aider Kerbeer via Gwenneg

 

Vinylgue, la galette à écouter « Made in Breizh »

BREIZH INNOVATIONS / ÉCO-ZIK / LE VINYLGUE : LE VINYLE À BASE D’ALGUES / MADE IN BREIZH / ORGERES (Il-ha-Gwilen, 35).
Antoine OLLIVIER et Mikaël COLLET, les deux fondateurs de M Com’ Musique ont créé un vinyle à base d’algues. Il s’agit du tout premier vinyle écolo à base d’algues, du MADE IN BREIZH.

C’est une initiative loin d’être anecdotique. Nos Bretons pourraient tout simplement créer le futur standard du vinyle. Ils ont créé le 1er VINYLE BIO-SOURCÉ.
C’est comme avec les sacs en plastique. Un jour, plus personne ne voudra de vinyle au pétrole. Tout le monde recherchera du biodégradable.
Et il aura été inventé à ORGÈRES, une usine artisanale près de RENNES.
Les disques vinyles sont revenus à la mode, il ne s’en est jamais vendu autant.
Désormais, il existe des disques vinyles à base d’algues, des VINYLES ÉCOLOS.
Fabriqués avec des petites billes d’algues au lieu de grosses boulettes de plastique polluantes.

C’est vrai qu’un disque reste avant tout une galette de PÉTROLE. Donc à l’heure où l’on parle de développement durable, 2 ENTREPRENEURS BRETONS se sont dit, que si le VINYLE devait reconquérir le monde, ce serait dommage qu’il reste en plastique.
Donc ils ont créé le VINYLGUE, le premier 33 TOURS VÉGÉTAL.

Il a le même son qu’un vinyle classique ?
Oui, et ce n’était pas gagné. Les premiers prototypes étaient trop mous, d’autres grésillaient… Mais là, ça y est ! Ils ont réussi à obtenir un son et une galette de qualité.
Ce macaron nommé VINYLGUE est fait à partir d’algues. Cette invention évite l’utilisation de matériaux plastiques comme le polymère (PVC).

Pour trouver des alternatives aux produits souvent dérivés du pétrole, Algoback a créé ce prototype en additionnant des algues avec un petit peu de plastique.
« Le PVC et l’acétate contiennent du pétrole, l’industrie du vinyle ne pourra pas en produire indéfiniment. C’est pour cela que l’on souhaite trouver une matière renouvelable » explique Antoine, un des deux fondateurs de M Com’Musique.

Le Vinylgue est une PREMIÈRE MONDIALE, l’entreprise doit encore travailler sur sa durée de vie car il s’abîme trop vite. Mais si tout se passe bien, la production en série devrait commencer dès l’année prochaine (2018).
Pour aider à la production de cet objet ÉCO-RESPONSABLE-responsable, M Com’Musique va lancer une levée de fonds dans les semaines à venir !
Article réalisé sur la base de la chronique d’anicet Nbida, Europe 1 ce matin.

démonstration en vidéo

Dailymotion: Vinylgue, la galette aux algues

 

Soutenons les Huîtres HENRY!

SOLIDARIBREIZH / OSTRÉICULTEUR / HUÎTRES HENRY / CRAC’H / COLLECTIF 56
L’établissement du Luffag à Crac’h se situe au fond d’une impasse d’un kilomètre, à deux kilomètres de la première route. Une signalétique existe, discrète et bien intégrée dans le paysage, seulement voilà, le Préfet du Morbihan en a décidé autrement.
Retirer cet affichage revient à isoler encore plus cette entreprise Bio, c’est la conduire à la cessation d’activité.
Plusieurs emplois sont eu jeu…
Renan Henry commence ce jour une grève de la faim, espérant attirer l’attention sur les pouvoirs publics et dans l’attente que le bon sens finisse par l’emporter.
Est-il utile de préciser l’importance des entreprises locales, aussi petites soient-elles?
Qu’il y ait des arrêtés afin de protéger, entre autres, notre littoral est primordial mais les pouvoirs publics font-ils preuve de la même opiniâtreté lorsqu’il s’agit de tous les acteurs économiques?
Tout notre soutien à Renan Henry.
Merci au Collectif 56 pour votre alerte!
Ci-dessous, copie de la lettre adressée au Préfet du Morbihan par Le Collectif 56:

Monsieur le Préfet,

Tout d’abord, un petit rappel: Le collectif 56 a pour objectif de rassembler les indépendants, commerçants, artisans, agriculteurs, PME, TPE, professions libérales, Retraités, etc., dans une cadre constructif mais énergique face aux mutations profondes et diverses de l’économie.  Nous souhaitons répondre de manière dynamique et volontaire à une solitude entrepreneuriale, en cherchant des solutions avec tous les acteurs du territoire, les instances politiques en place, les chambres consulaires, les caisses sociales, syndicats, réseaux et autres. Il s’agit d’agir positivement en ouvrant le dialogue, en écoutant et en aidant les dirigeants en difficultés. Nous n’avons aucune vocation politique.

C’est pourquoi nous vous demandons de revenir immédiatement sur votre arrêté préfectoral et la sommation faite aux « HUITRES HENRY » d’enlever sa signalétique installée à Crac’h, visant uniquement à diriger ses clients potentiels vers ses locaux commerciaux. Sachant d’une part que ces panneaux sont de petites tailles, en petit nombre et s’intègrent harmonieusement dans le paysage et non pas le défigure. Etes-vous par déjà au moins une fois allé constater sur place, apr vous-même, la situation? Avez-vous par cous-même analysé la situation du seul ostréiculteur Breton labellisé BIO? Dans ce contexte, les Huitres, peut-être est-il besoin de vous le rappeler, s’élèvent en bord de mer et en mer, loin des plages, en bordure de rivière si possible, en tout cas pas dans un endroit touristique à outrance ou près d’un site industriel. Donc dans une espace reculé, en cul de sac, nécessitant une signalétique adaptée pour y diriger sa clientèle. Cette signalétique a été conçue de manière intelligente, pas tapageuse, dans les couleurs naturelles et aux dimensions respectables.

Les pouvoirs publics reprochent en permanence à nos PME Bretonnes de ne pas innover assez, de ne pas se remettre en question. Vous avez la l’exemple type d’une entreprise qui a pris le risque d’aménager sa technique, ses locaux, son personnel, pour en faire un modèle parmi nos entrepreneurs. Le label BIO ne s’obtient pas très facilement et demande beaucoup d’énergie, un investissement énorme aussi bien en travail que financier avec tous les risques que cela sous-entend.  A terme votre arrêté aura une conséquence radicale, la descente aux enfers du fleuron de nos ostréiculteurs Bretons, et  vous porterez la lourde responsabilité du licenciement de tout ou partie du personnel de l’entreprise, dans un territoire qui cherche à tout prix à conserver ses emplois locaux.

Les suicides quasi quotidiens de nos agriculteurs ne suffisent donc pas à vous ouvrir les yeux, allez-vous bêtement continuer d’appliquer une directive stupide car non-adaptée, ordonnée par quelque fonctionnaire parisien, en mal d’originalité et continuer à appliquer les consignes de ceux qui n’ont jamais mis les mains dans le « Cambouis », au lieu d’examiner la réalité locale, le bienfondé de son application?

Ne pas entraver la bonne lmarche de nos entreprises locales relève du salut public.

La France est submergée de normes, mois, ordonnances, etc… Qui tuent à petit feu nos entreprises et détruisent le tissu économique et social de nos territoires, responsable du chômage et la Bretagne est particulièrement touchée de par ses activités agricoles et le maillage de ses TPE, PME, etc…

Nous tenons à vous informer que copie de ce courrier sera envoyé à Emmanuel MACRON notre Président ainsi M. Edouard Philippe nouveau 1er Ministre. Car votre arrêté ne nous parait pas aller dans le sens des promesses électorales faites aux Français et en particulier à nos PME et TPE.

Vous auriez surement été mieux inspiré à attendre la mise en place du nouveau gouvernement et voir l’orientation et l’impulsion qu’il compte donner face à la situation parfois dramatique de nos PME.

Vous serez personnellement responsable de la dégradation de la santé de Renan Henry, bientôt rejoint par Katia son épouse, dans sa grève de la faim.

Vous appellerez surement cela chantage, nous on appelle cela ‘cri de désespoir ».

Fi de bavardage, de gargarisme politicomédiatique, nous attendons de votre part une réponse claire à une question claire OUI ou NON allez-vous revenir sur votre arrêté.

Veuillez agréer Monsieur le Préfet nos respectueuses salutations.

 

 

 

Isidore Penven de Pont-Aven

PATRIMOINE BRETON / LES GALETTES DE PONT-AVEN (29)/ SON CRÉATEUR ISIDORE PENVEN

L’ Inventeur des Galettes à Pont-Aven en 1890, Isidore Penven a fait la renommée de la biscuiterie grâce à son savoir-faire incomparable.

Depuis 120 ans, se perpétue la tradition de qualité et de goût qui animaient Isidore Penven pour le plus grand bonheur des gourmands.

Des ingrédients de qualité pour des biscuits 100% BRETONS.
C’est parce que les galettes et gâteaux bretons « MAISON » sont fabriqués de manière artisanale à PONT-AVEN (Finistère 29), avec des ingrédients provenant de producteurs locaux de qualité, qu’elles sont si bonnes.
BEURRE de BARATTE DEMI-SEL breton, farine moule en Bretagne, œufs entiers, mais aussi des ingrédients plus originaux comme la farine de SARRASIN ou D’ÉPEAUTRE, broyées à la meule de pierre par un minotier proche de la biscuiterie… le tout sans colorant ni arômes artificiels….
La recette de leur succès se trouve là.

Isidor Penven, le site

Laïtik, le lait breton de l’espoir

BREIZH INITIATIVES / AGRO-ALIMENTAIRE/ LAITIK / ASSOCIATION DE 54 PRODUCTEURS DE LAIT

Le lait breton, a un beau goût de liberté!
L’aventure est belle. 54 producteurs s’associent dans toute la Bretagne pour créer leur Sica (société d’intérêt collectif agricole) : LAIT’SPRIT D’ÉTHIQUE (laitik.bzh).
Trois camions pour la collecte, un ancien abattoir transformé en laiterie, d’un potentiel de production de 25 millions de litres par an. La laiterie a déjà créé quatorze emplois ; vingt-six sont prévus à TRÉMOREL (CÔTES-D’ARMOR).

À 0,69 € le litre de lait demi-écrémé,  » il est dans les premiers prix « .
Alors que la crise s’éternise, essorant les éleveurs, un groupe de Bretons têtus vient de créer sa propre marque.
Un lait ÉTHIQUE produit ICI, un pari audacieux pour circuit ULTRA-COURT.

Vendredi 21 avril, LAITIK débarquait tout juste dans les rayons du Super U de PLOGONNEC (FINISTÈRE).
Pour faire la promo de ce lait en circuit très court, deux producteurs du coin : RENÉ LE BOT, 59 ans, éleveur laitier à PLONÉVEZ-PORZAY « depuis plus de 30 ans », avec 70 laitières et 500 000 litres sur 60 ha ; et BABETH LIGEN, 45 ans, associée avec son mari à PLOGONNEC, 65 vaches pour 600 000 litres, ils produisent LAITIK avec les 52 autres éleveurs bretons, avant de le vendre en direct. L’aventure a débuté il y a deux mois.

INVESTISSEMENT TOTAL : 6,5 MILLIONS D’EUROS:
financés pour un quart par les apports personnels des éleveurs eux-mêmes et pour une bonne moitié par des prêts bancaires, plus un prêt et une subvention.

Source

O-F, 23 avril 2017

SolidariBreizh pour les Vignobles Lusseauds

VINS DE BRETAGNE / VIGNOBLES LUSSEAUDS / SOLIDARIBREIZH

Les précautions prises dans la nuit du 25 au 26 avril 2017 ont été vaines. Près de 90% de la future récolte est partie en fumée suite au gel. La nuit suivante eut raison des 10% restant. La température est descendue au-delà des -3ºC…

Pierre-Yves Lusseaud a d’ores et déjà annulé le 2nd Celticae Deiz qui devait se tenir le 14 mai, cette décision est compréhensive. Après la grêle de l’an dernier, cette fois c’est le gel…

Des enfants ont eu l’idée de lancer une cagnotte pour réchauffer le coeur de Pierre-Yves:

Pour aider Pierre-Yves à remonter la pente, cagnotte sur Leetchi

Une pensée également pour les autres viticulteurs du pays qui ont subi de lourdes pertes, notamment pour les Vignobles Chéneau (95 à 100% de pertes sur Mouzillon et 50% sur Monnières)…

En savoir plus:

Vignobles Lusseaud sur Facebook