Marchons ensemble le 26 septembre!

MARCHE FAMILIALE / TRÉGLAMUS: 26 Sept., 14h

LE 26 SEPTEMBRE 2020 POUR LE DROIT DE DÉCIDER EN BRETAGNE !

KERZHADEG 26 A VIZ GWENGOLO 2020 : POENT EO DIBAB E BREIZH !

La crise du Covid-19 a mis en lumière aux yeux de l’opinion publique la nécessité de relocaliser les décisions. C’est plus qu’une décentralisation au bon vouloir de Paris ou des élu·e·s du Conseil Régional de Bretagne que nous souhaitons : nous voulons construire un pouvoir politique breton pour élargir les compétences. Cela permettra aux bretonnes et aux bretons de participer directement aux décisions.

De toute part la question d’une démocratie plus proche de la population se fait entendre, que ça soit au niveau de la santé, de la réunification de la Bretagne, de l’égalité Femme/Homme, de l’environnement, des services publics, etc.

Le droit de décider et la question du référendum en Bretagne commence à réapparaitre dans les débats publiques, notamment dans les institutions du Conseil Régional de Bretagne ou du Conseil Municipal de Nantes. C’est le reflet d’une volonté populaire forte qui ne se traduit pour l’instant que par des promesses. Nous déplorons que la consultation du peuple breton ne soit apparemment pas une priorité.

L’abstention aux élections municipales et le succès honorable de certaines listes citoyennes interpellent le modèle démocratique actuel. Cela montre une volonté de changement forte et l’envie d’une nouvelle culture démocratique bretonne.

Partout en Europe les peuples s’organisent pour décider de leur avenir, comme en Écosse ou en Catalogne… Nous demandons que les candidat·e·s aux élections régionales et aux élections départementales à venir s’engagent sur l’organisation d’un référendum pour décider de Brest à Clisson. Cette consultation devra permettre de choisir quelles compétences (notamment législatives et fiscales) nous voulons ici en Bretagne, pour permettre une vie digne à tous et toutes, sans distinction d’origine, de classe, d’orientation sexuelle et de genre.

Marchons le samedi 26 septembre 2020 jusqu’au Méné Bré pour montrer notre détermination et notre unité. Rendez-vous à 14h00 à Tréglamus pour une marche familiale.

************

Enkadenn ar gCovid he deus lakaet war-wel d’an dud an ezhomm da adlec’hiañ an dibaboù. Muioc’h eget un digreizennañ diouzh c’hoant Pariz pe hini dilennidi Rannvro Breizh e fell deomp : sevel ur galloud politikel e Breizh evit ledanaat ar barregezhioù. Evel-se e c’hello Breizhiz ha Breizhadezed kemer perzh war-eeun en dibaboù.

A bep tu e klever kaoz deus un demokratelezh tostoc’h deus ar bobl, pa vefe war dachenn ar yec’hed, an adunvaniñ e Breizh, an ingalded merc’hed/paotred, an endro, ar servijoù publik, ha kement zo tout…

Ar gwir da zibab hag azgoulenn ar referendom e Breizh a grog da vezañ lakaet war-wel er vuhez politikel, en ensavadurioù evel Rannvro Breizh pe e kuzul-kêr Naoned. Se zo disoc’h youl greñv ar bobl a responter dezhi gant promesaoù hepken. Siwazh ne seblanter ket mennet da vat da c’houlenn soñj pobl Vreizh dre ur votadeg.

An anvouezhiañ da vare dilennadegoù kêr ha berzh al listennadoù keodedel zo un heklev d’ur framm demokratel diamzeriet. Diskouez a ra ur c’hoant bras da cheñch penn d’ar vazh ha da grouiñ ur sevenadur demokratel breton.

E pep lec’h en Europa e vez ar pobloù oc’h en emaozañ evit termeniñ o dazont evel e Skos pe e Katalonia…Goulenn a reomp digant an holl re a vo war ar renk evit ar votadegoù rannvro pe departamant prometiñ da aozañ ur referendom evit dibab deus Brest da gKlison. Ar vouezhiadeg-se a servijo da choaz peseurt barregezhioù (lezennel pe kemmedel) a fell deomp amañ e Breizh, evit ma c’hello bevañ mat an holl ac’hanomp, en desped d’an orin, d’ar renkad sokial, d’an durc’hadur revel, d’ar jener.

Kerzhomp d’ar Sadorn 26 a viz Gwengolo 2020 betek tosenn ar Menez Bre, evit diskouez hor youl hag hon unaniezh. Emgav da 2 eur GM e Treglañviz evit ur gerzhadeg familh.

POUR LE DROIT DE DÉCIDER EN BRETAGNE : RENDEZ-VOUS LE SAMEDI 26 SEPTEMBRE À 14H00 À TRÉGLAMUS.

POENT EO DIBAB E BREIZH : EMGAV D’AR SADORN 26 A VIZ GWENGOLO DA 2EUR GM E TREGLAÑVIZ.

La Parlement de Bretagne dit Non à la soumission et tout négationisme de Paris

Communiqué n°C2-07-09 du 28 juilt 2020

Pour sa 7ème Tenue, les parlementaires s’étaient donnés rendez-vous dans la matinee, samedi 25 juillet 2020 à Vannes, devant le  château de l’Hermine, qui fut d’antan le siège du Parlement général de Bretagne, pour y réaliser la photo officielle du 2nd cycle parlementaire (2020-2022).

Voulant souligner leur attachement aux vérités historiques en rappelant au Peuple breton que le Parlement de Bretagne sis à Rennes est une Cour de Justice et non un Parlement où se discutent des lois, le choix de Vannes tombait sous le sens.

Alors qu’il nous paraît plus que déplacé de faire appel au mécénat d’entreprises bretonnes pour permettre au musée des Beaux Arts de Rennes d’acquérir une statuette de Louis XIV trônant sur son cheval pour la modique somme de 2,37 M€ (Louis XIV ne fut-il pas ce Roi de France qui augmenta taxes et impôts pour payer les frais de guerres, pire, qui envoya ses Dragons pour « mater » les Bonnets Rouges, multipliant pendaisons et atrocités sans nom (ex: enfants rôtis à la broche)?;

Alors que certaines personnalités appellent pour que soient retirées certaines statues symbolisant aujourd’hui des idées politiquement incorrectes (ex: STATUE de Colbert, auteur du Code Noir, devant l’Assemblée nationale), il serait ô combien légitime pour nous Bretons, d’effacer sur le champs de toutes nos places, rues ou établissement scolaires des noms tel que celui de Gambetta, Ministre de la guerre détestant les Bretons et ayant créer l’armée de Bretagne pour défendre Paris cernée par les Prusses (1870-1871) et trouvant opportun de les laisser pourrir au camp de Conlie pour ceux qui ne partirent pas se battre avec des armes réformées sans munition;

Alors que notre cathédrale St-Pierre et St-Paul de la cité des ducs de Bretagne fut incendiée tout récemment par un bénévole profitant d’une déconcertante légèreté des pouvoirs publics quant à la sécurité appropriée à un tel joyau historique et symbolique, n’est-il pas temps de nous prendre en main et d’exiger la pleine responsabilité nécessaire pour entretenir l’ensemble de nos biens culturels;

Il n’est plus permissible de nous laisser abuser plus longtemps par Paris en continuant de lui confier sauvegarde et protection de nos biens les plus précieux! Pour rappel, avoir retrouvé le reliquaire d’Anne de Bretagne dérobé au Musée Dobrée n’efface pas les lacunes en sécurité là aussi, d’ailleurs, les quelques cadières (pièces uniques) volées ce jour-là restent introuvables…

Il ne faut pas attendre de nous, parlementaires bretons, que nous nous accoutumions à toute servilité envers quiconque démontrant un perpétuel contrôle sur des biens et des personnes qui lui sont totalement étrangères, en toute illégalité, abusant d’impôts mais incapables d’accorder la protection de nos biens (seuls 83% de nos impôts restent à Paris)!

En debut d’après-midi, se tînt samedi la 7ème Tenue parlementaire au cours de laquelle furent adoptés, entre autres, Arrêt fondateur des Kevrennoù, Arrêt de Règlements dédié à leur fonctionnement et Charte des Kevrennoù; en d’autres termes: le lancement des Kevrennoù est officiellement lancé! Ne reste plus qu’aux électeurs à créer leur kevrenn officiel auprès du Bureau Fédéral des Kevrennoù, pour l »ajouter aux quatre Kevrennoù déjà constituées.

Le lendemain, nous commémorions la défaite se Saint-Aubin du Cormier (28 juillet 1488) qui amorça la fin de l’indépendance bretonne et celle des libertés de tout un peuple. Plus de cinq siècles plus tard, la Bretagne vit toujours dans nos coeurs malgré une colonisation prolongée; mais le droit international parle pour ses prétentions à recouvrer Souveraineté et independence, il suffit que le Peuple breton en ait connaissance et puisse rêver d’une Liberté retrouvée. 

Dael Breizh, Parlement général de Bretagne attend donc que tous les Bretons s’approprient leur Parlement et investissent leurs kevrennoù pour constituer un fer de lance des revendications bretonnes et imposer à l’État français, une reconnaissance inaliénable de Notre Nation, de son Peuple et des droits fondamentaux qui nous sont refusés en qualité de Peuple autochtone asservi illégalement par le faux traité dit d’union de 1532.

UNANET EVIT BREIZH !

Photo: De gauche à droite: Eric de Gaudemont, Tepod Erkelens, Marc Kervella, Yann-Varc’h Furon, Philippe Romillat, Thierry Le Goff & Daniel Jacquet

Patrimoine: la gallettière du XIIIème siècle

BREIZH ISTOR / GALETTIÈRE DATANT DU XIIIÈME SIÈCLE /ÉCOMUSÉE DES MONTS d’ARRÉE / LANDÉVENNEC / FINISTÈRE (29)
EXPOSITION « Quand la crêpe devient bretonne » au MUSÉE de l’ANCIENNE ABBAYE de LANDÉVENNEC
Les MOINES qui vivaient à l’ABBAYE de LANDÉVENNEC au MOYEN ÂGE faisaient des CRÊPES
Quand l’archéologie retourne l’histoire de la crêpe !
« Grâce à l’archéologie, on peut aujourd’hui développer une temporalité et une histoire, différentes de la crêpe bretonne, poursuit le directeur du musée de l’ancienne abbaye, Bernard Hulin.
Elle n’est plus seulement cette nourriture de sauvages que l’on prétendait au XIXe siècle, jusqu’au développement du tourisme, ni celle de nos crêperies modernes. »
Guénolé Ridoux montre le morceau de GALETTIÈRE trouvé dans les « POUBELLES » MÉDIÉVALES de l’ancienne abbaye de LANDÉVENNEC, qui a permis de reconstituer l’objet intégral, est à la base du projet 2020 du MUSÉE.*( Photo 1)
Dans les fosses de l’ancienne abbaye de Landévennec (Finistère), des céramiques médiévales ont été retrouvées.
Les MOINES qui vivaient à l’ABBAYE de LANDÉVENNEC au MOYEN ÂGE faisaient des CRÊPES. C’est l’une des conclusions des travaux scientifiques très sérieux menés depuis cinq ans par l’équipe du musée de l’ancienne abbaye. Ces avancées scientifiques font bouger la chronologie du plat régional le plus populaire et donnent lieu, aujourd’hui, à une exposition et une publication.
Mais tout remonte à une dizaine d’années. Un fragment en argile, de la forme et de la taille d’une part de pizza, est retrouvé dans les collections du musée de cette abbaye fondée à la fin du Ve siècle, par saint Guénolé et quelques disciples. Mis au jour lors d’une précédente campagne de fouilles archéologiques, il provient des fosses qui servaient de « poubelles » aux moines et daterait du XIIIe-XIVe siècle.
« Ce fragment provient d’un mobilier circulaire et plat », explique Guénolé RIDOUX, qui travaille au musée et assure le commissariat de l’exposition actuelle, Quand la crêpe devient bretonne. L’épaisseur (plusieurs centimètres) et la composition du fragment (une céramique onctueuse – qui résiste à la chaleur et la diffuse très bien grâce une proportion importante de talc) laissent penser à un objet qui se plaçait sur le feu plutôt que dans un four. Quant à l’argile utilisée, elle ressemble beaucoup à celle exploitée dans le Cap-Sizun tout proche.
Coup de chance, l’objet est « archéologiquement complet », on peut donc en reconstituer sa forme passée, qui une fois modélisée, ressemble à une galettière moderne.(…)
Les résultats sont sans équivoque. Sur la surface du plat, on retrouve des traces de produits laitiers, dont un marqueur qui ne peut que provenir du beurre. La présence de certaines molécules suggère aussi que l’objet a été exposé à des chauffages répétés et à des températures très élevées (au-delà de 240 °C).(…)
Le temps de trouver les financements pour ce projet, on est en 2019. « On a reconstitué cinq galettières semblables à celle retrouvée, rapporte Guénolé Ridoux. On a ensuite testé plusieurs graissages, plusieurs températures de chauffage, plusieurs pâtes. »
Retranchés à l’ÉCOMUSÉE DES MONTS d’ARRÉE le temps de l’expérimentation, les historiens se font crêpiers et leurs premiers essais confirment l’idée de départ : l’objet servait à faire des crêpes.
« Grâce à l’archéologie, on peut aujourd’hui développer une temporalité et une histoire, différentes de la crêpe bretonne, poursuit le directeur du musée de l’ancienne abbaye, Bernard Hulin. Elle n’est plus seulement cette nourriture de sauvages que l’on prétendait au XIXe siècle, jusqu’au développement du tourisme, ni celle de nos crêperies modernes. »
Exposition « Quand la crêpe devient bretonne » au MUSÉE de l’ANCIENNE ABBAYE de LANDÉVENNEC.
Tous les jours, de 10h30 à 18 h. Plein tarif : 6 € ; réduit : 5 €.
Un LIVRE pour vulgariser les avancées scientifiques dans ce domaine existe aussi.
« Et vous ? Êtes-vous plutôt crêpe ou galette ?: publié en deux versions, BRETON et fRançais, chez Coop Breizh. 20 €.
Photo : Galettière reconstituée à partir d’un fragment retrouvé à l’ancienne Abbaye de Landévennec.
Article Paule-Emilie RUY et Carole TYMEN © OUEST-FRANCE

La Bretagne est juridiquement NEUTRE !

INSTITUT DE DROIT BRETON (IDBH)

L’IDBH rappelle que la Bretagne est NEUTRE depuis 1381…
Extrait de « Tensions en Méditerrannée: la Bretagne est juridiquement NEUTRE » (13 août 2020)

La Bretagne est juridiquement une nation NEUTRE en Droit international public. Or la présence illégale sur le sol breton des infrastructures militaires françaises, nuisent à nos Droits inaliénables.

La France hausse le ton dans le conflit maritime entre la Grèce et la Turquie : le Président de l’État voisin, Emmanuel Macron, annonce le renfort de présence des bâtiments de la Marine Nationale de France en Méditerranée.

La Bretagne, dans le cadre de l’affirmation de sa Neutralité en Droit international, fournit son économie, ses hommes, ses réseaux, ses ressources et son capital de compétences, au service d’un État colonial qui viole délibérément la Neutralité bretonne acquise en Droit international public depuis 1381, soit deux siècles avant la Suisse (…)

En savoir plus..

Ensavadur Gwir Breizh /Institut de Droit Breton

https://idbzh.wordpress.com/

 

 

Conformisme & Discrimination

CONFORMISME & DISCRIMINATION
Ce CONFORMISME peut-il être défait par une MINORITÉ qui tente de se prémunir en gardant toute sa LUCIDITÉ?
En LOIRE-ATLANTIQUE et bien sûr en « BRETAGNE » ADMINISTRATIVE, l’ÉTAT modifie la représentation de l’Histoire.
Cette nouvelle vérité, ce mensonge, ne peut s’imposer que si rien ne la contredit, explique le psychiatre Serge Tisseron.
Car NUL n’obéit mieux que celui qui est dans L’INSÉCURITÉ de ses PROPRES REPÈRES.

Mobilité: et pourquoi pas un retour des trains de nuit en Bretagne?

MOBILITéS / RAILS / TRAINS DE NUIT
Si on y réfléchit bien, les trains de nuit, disparus depuis l’arrivée du TGV, auraient un intérêt particulier dès lors qu’ils assureraient des liaisons reliant la Bretagne aux « euro-régions »;
L’idée est loin d’être saugrenue…
En savoir plus
NHU 

Pollution au Méthane de l’Aulne!

ENVIRONNEMENT / POLLUTION / KASTELLIN en FINISTERE

MÉTHANISATION = INDUSTRIE à RISQUE

Ce nouvel accident industriel sur un méthaniseur porte préjudice une nouvelle fois aux RIVIÈRES FINISTÉRIENNES, après celui de la BEUZEC CAP SIZUN d’il y a deux ans qui avait anéanti 3 kms de cours d’eau, et ne manque pas de nous interroger.
« Comment se fait-il qu’une entreprise, dont l’étude des dangers a été présentée à l’enquête publique en septembre 2018, puisse générer un tel accident, sinon à penser que les risques industriels de ces installations de méthanisation sont largement minimisés ? », s’étonne Jean Hascoet, délégué territorial d’Eau et Rivières de Bretagne.(…)
C’est par un bulletin d’alerte de l’IFREMER adressé à la profession conchylicole dans l’après midi du 19 et par un communiqué de la préfecture publié tard ce mercredi soir que les usagers du service public de l’eau potable de cinquante communes du Finistère ont été informés de la pollution de l’Aulne par une POLLUTION à l’AMMONIAQUE.
Les FAITS
Le déversement, lundi 17 de près de 400 m³ de digestat vers le bassin d’orage et le milieu naturel, à l’USINE de MÉTHANISATION KASTELLIN à CHÂTEAULIN, a provoqué une forte augmentation de la concentration en ammoniaque dans l’Aulne.
L’entreprise a alerté les autorités qui ont tenté de diluer de la pollution, par l’augmentation du soutien d’étiage au départ du lac Saint-Michel. Faute de résultats satisfaisants à l’usine de production d’eau potable de Coatigrac’h, la Préfecture a dû se résoudre à prendre un arrêté de restriction d’usage de l’eau potable.
Quels impacts sur le milieu naturel ?
Les agents de l’Office français de la biodiversité (OFB) se sont déplacés sur le terrain. Ils n’ont pour l’heure pas constaté de mortalité piscicole dans un contexte où le retour de la pluie conjugué à l’augmentation du soutien d’étiage rendent les constats difficiles, compte tenu du débit et de la forte coloration de l’eau. Il y a fort à parier que les fortes teneurs en ammoniaque mais aussi en fer auront une influence sur les écosystèmes de l’Aulne et de son affluent, ce que l’enquête devra déterminer.
En savoir plus:
* ANALYSE de l’ASSOCIATION  » Eaux & rivières de Bretagne »
Contact: Eau & Rivières de Bretagne (02
Centre Régional d’initiation à la Rivière – 22810 Belle-Isle-en-Terre
* Finistère.gouv.fr