Comment la Bretagne est devenue française
Hervé Le Bévillon
S’il existe un livre que tout breton averti doit avoir pour « bible » c’est bien celui-ci!
L’auteur n’aborde ni la culture, ni la langue. Il nous explique techniquement par les textes et documents historiques (en intégralité en annexes), comment un pays riche et de nature pacifique a été rayé de la carte.
Dans un avenir proche, la Catalogne, l’Ecosse ou la Flandre deviendront des états de l’Union Européenne. Cette évolution ne laissera pas les Bretons indifférents.
La question cruciale qui se posera alors ; les Bretons ont-ils suffisamment confiance en eux pour bâtir leur propre démocratie ?
Parution : juin 2011
208 pages
édition : Yoran Embanner Coop Breizh / Editions Yoran EMBANNER
réf : 657936
Les Bretons sont devenus de bons français bien formatés.. contrairement aux pays cités ci-dessus, nous n’avons pas l’élan de tout un peuple qui souhaite se libérer…à partir de là, que faire ? quoi , comment ?..un peuple qui a perdu son sens identitaire vrai (la preuve il se titre « Breton » alors qu’il ne lest pas mais est un « Celte Armoricains » , les Brittons étant venus tardivement s’installer en Breizh (y amenant le christianisme dont nous nous serions bien passé) , ne connait pas sa propre Histoire, s’est éloigné de sa spiritualité native et de ses sages sapients ..Quant au combat breton » en lui-même, il n’est qu’un panier de crabes où les egos se disputent en compétition, se plagient, se copient, ne se parlent même pas , ajoutons-y les querelles de clochers où personne n’est d’accord sur rien ! .. voilà la triste réalité de la Bretagne Armoricaicne actuellement … !
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Nous ne pouvons que constater très amèrement la situation actuelle. Mais baisser les bras serait abandonner ce dont pourquoi se sont battus nos ancêtres, et tout simplement le droit que nous avons en tant que peuple de revendiquer ce que nous sommes. Nous ne sommes pas français, nous ne pouvons l’être parce que notre coeur bat autrement, différemment. Et puisque nos valeurs sont incompatibles avec celles des Dakotés comme avec celles que nous souhaitons le monde dans lequel vivront nos enfants, nul d’autre choix que de continuer à prêcher, fusse t-il dans un désert.
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